Titre
:
Chaperon Rouge et le Dragon de Chine
Auteur
:
Pascal Coatanlem
Illustrateur
:
Joël Cimarron
Editeur
:
Karibencyla
Collection
:
Le Théâtre des Montres
Date
de parution : 12 juin 2012
ISBN
:
978-2-9534343-6-1
Prix
éditeur :
12,80€
Pages : 32
Quatrième
de couverture :
Ma première est une jeune fille dont la cape rouge attire
tous les regards.
Mon deuxième déchire le ciel pour faire
tomber la pluie.
Mon troisième est un singe rusé qui
possède un nuage magique.
Et mon tout est une histoire dont l’apparence
est trompeuse.
Résumé
de Karibencyla :
Alors que la sécheresse s’est installée dans son pays, le
Petit Chaperon rouge part sur les traces de la légende de Sheng-Long, le dragon
chinois porteur de pluie dont lui a tant parlé sa grand-mère. Pour sauver son
pays, elle décide de le rencontrer. En chemin, elle croisera un redoutable
singe qu’elle devra démasquer pour accomplir sa mission.
Critique
:
C’est l’un des albums contenant le plus de texte. Le Petit Chaperon rouge est
l’image de l’innocence. Elle pourrait être n’importe quel enfant. Les voyages
entre les deux pays sont brutaux. Il manque la douceur des autres histoires de
cette collection. Je m’étais habituée à des jeux de mots, voir à de belles
métaphores. Ici, cela m’a manqué. Les illustrations sont belles. Il est facile
d’y retrouver les codes de l’art chinois. On se sent dans un autre monde, mais
tout semble facile pour le Chaperon Rouge. Au final, j’aime toujours autant le
concept de mélanger deux cultures et les illustrations numériques. Il y a une
pointe de déception dont je n’arrive pas à me défaire en refermant ce livre.
Dans la même collection :
Hänsel, Gretel et Saci Pererê
Boucles d'Or et Jean de l'Ours
Peau d'âne et les Tanukis
Petit Poucet et le Minotaure
Barbe Bleu et Compè Lapin
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