samedi 9 janvier 2016

Yannis - Florence HINCKEL



Titre : Yannis
Série : U4
Auteur : Florence Hinckel
Illustrateur de couverture : Antonio Jorge Nunes
Editeur : Syros & Nathan
Date de parution : 18 août 2015
ISBN : 978-2-09-255615-3
Prix éditeur : 16,90€
Pages : 438

Quatrième de couverture : 

Yannis, Stéphane, Jules, Koridwen ont entre 15 et 18 ans. Ils ont survécu au virus U4, qui a décimé 90% de la population mondiale. Ils ne se connaissent pas, mais ils se rendent pourtant au même rendez-vous.

« Je m’appelle Yannis. Mes parents et ma sœur sont morts sous mes yeux. Depuis, leurs fantômes m’accompagnent partout. Il faut que je quitte Marseille avec mon chien, sinon je vais devenir fou. Je n’ai plus qu’un espoir : arriver à temps au rendez-vous, à Paris. »

Critique : 

C’est le deuxième tome de la série U4 que je lis. Stéphane m’a permis de découvrir cet univers post-apocalyptique. Yannis est un jeune homme qui a bien du mal à faire face à la réalité de son monde. Il se cache derrière son avatar. Du coup, j’ai parfois eu l’impression qu’il a une double personnalité. Ce personnage est particulier. Happy, le chien, tient une grande place dans la narration. Il est touchant, surtout par sa confiance absolue en Yannis. C’est un duo qui ne laisse pas insensible. Connaissant en grande partie son histoire, puisqu’elle s’entremêle à celle de Stéphane, je n’ai pas eu de surprise. Une copine m’a révélé avec qui Yannis a sa première fois. Je m’en doutais, mais cela enlève une part du plaisir. La pire réplique pour moi est celle-ci : « Yannis… Merci, c’était bien. Mais tu sais, je n’irais pas plus loin. Je n’aime pas mentir. J’ai un destin qui m’appelle et je dois l’affronter seule ». J’ai bien du mal à croire que quelqu’un puisse dire ça. La fin est ouverte et laisse place à toutes les hypothèses. Elle est quand même plus précise que celle de Stéphane. C’était une lecture agréable, mais je n’ai pas réussi à m’immerger dedans. Peut-être le suivant me conviendra plus, puisqu’il y aura d’avantage de nouveautés.

Autres tomes : 

Jules
Koridwen

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