dimanche 21 avril 2013

La rebelle flamboyante - Heather GRAHAM



Titre : La rebelle flamboyante
Auteur : Heather Graham
Illustrateur de couverture : Donald Case
Traducteur : Daniel Garcia
Editeur : J’ai lu
Collection : Aventures & Passions
Date d'impression : 11 décembre 1997
ISBN : 2-290-04714-7
Prix éditeur : 6,75€
Pages : 352

Quatrième de couverture :

- Sale bâtard ! crache Tina en se débattant.

L’insulte a fusé sans qu’elle puisse la retenir. C’est follement imprudent : elle est à la merci de l’Indien. Maintenant, il va la tuer, elle en est sûre…

C’est l’un de ces splendides guerriers séminoles à la peau cuivrée et aux cheveux tressés, qui parcourent les marécages de la Floride. Mais il y a quelque chose d’étrange : cet Indien a les yeux bleus ! Un bleu profond, d’une intensité sidérante. Ce regard, Tina le connaît, il l’a souvent fascinée. Ours rapide…

La première fois qu’elle l’a rencontré, il lui avait dit d’appeler James McKenzie. Ce soir-là, au milieu d’une foule élégante, il portait un costume noir et une chemise à jabot de dentelle. Chacun de ses gestes trahissaient une énergie, une vitalité extraordinaire. C’était sans doute pour cela que les femmes s’affolaient sur son passage, parce qu’elles détectaient sa sauvagerie sous des dehors civilisés.

Tina, elle, avait tout de suite su qu’il la haïssait.

Critique : 

Ce roman commence par un passage, qui en fait est le milieu de l’histoire. Ensuite on fait un bon dans le temps pour tout reprendre depuis le début. Alors l’auteur a un sacré soucis pour les prénoms. On a Tina et Tara ou encore James, John et Jarett. Du coup, parfait j’ai eu du mal à m’y retrouver. A la fin, ça allait un peu mieux, mais j’aurais aimé des prénoms plus différents. Tina fait face à un beau-père violent et dictateur. Elle doit aussi gérer des sentiments qui choqueraient la bonne société, même en Amérique. Il y a la guerre, mais aucune description qui soulève l’estomac pour décrire les atrocités. Comme dans tout roman de gare, il y a une petite histoire d’enlèvement et de scandale. Il est facile à lire même s’il reste très plat. Dommage car le fantasme d’une bonne histoire avec un indien tombe à l’eau.

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