dimanche 28 février 2016

Le Club de la Petite Libraire - Deborah MEYLER



Titre : Le Club de la Petite Librairie
Auteur : Deborah Meyler
Illustrateur de couverture : Urban Zintel, Getty images
Traducteur : Jocelyne Barsse
Editeur : City
Date de parution : mars 2014
ISBN : 978-2-8246-0401-5
Prix éditeur : 18,90€
Pages : 412

Quatrième de couverture : 

Jeune femme brillante, Esme obtient une bourse à l’université de Columbia à New York. Dans cette ville où tout est tellement éphémère, elle tombe amoureuse de Mitchell. Tout va bien. Jusqu’à ce qu’elle soit enceinte : là, Mitchell annonce qu’il s’en va.

Déterminée à reprendre sa vie en main, Esme trouve un travail dans une petite librairie de quartier, tenue par George, son propriétaire excentrique et le taciturne Luke dont le rêve est de devenir guitariste. Au milieu des livres, la jeune femme trouve un réconfort bienvenu, tout comme auprès des clients de la librairie qui deviennent des amis et des soutiens.

Et puis, un jour, Mitchell revient. Esme a-t-elle vraiment envie de lui accorder une seconde chance ? Le bonheur est-il à ce prix ?

Critique : 

En me baladant entre les rayons de la bibliothèque, je découvre ce roman. Il semblait intéressant. Esme est une jeune étudiante d’origine anglaise venue faire ses études à New York. Le début est idyllique. Le bébé vient tout bouleverser. Mitchell ressemble à l’homme parfait. Il est le stéréotype du gendre riche et bien élevé, mais tout n’est que façade, et le lecteur le voit dès le début. Si ce personnage ne réapparaissait pas, l’histoire aurait peut-être été meilleure. La relation d’Esme et Mitchell prend trop de place ce qui empêche un approfondissement des relations entre les employés de la librairie. J’aimerais avoir une petite librairie où me rendre semblable à celle-ci. Le souci est mon manque de culture. Par exemple, les artistes et auteurs cités ne me disent pas grand-chose, pour la plupart. Beaucoup de thèmes sont abordés dans ce roman, mais pas approfondis, ce qui est frustrant. Ajouté à cela une envie irrépressible de secouer comme un cocotier Esme et vous vous approcherez de mon ressenti pendant une bonne partie du récit. Cela reste une lecture agréable. Je veux trouver le même livre mais Mitchell est viré dès la conception du bébé. Ainsi, il laisse la place à l’amitié et la solidarité. J’ai fini la dernière page et il me reste des questions. La fin est ouverte et laisse place à l’imagination. J’apprécie mais ce n’est pas un livre que je souhaite relire ou conserver dans ma bibliothèque personnelle.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire