samedi 9 mars 2013

Quand l'amour s'éveille - Barbara CARTLAND



Titre : Quand l'amour s'éveille
Auteur : Barbara Cartland
Illustrateur : Etienne Lage
Traducteur : Dominique de Scitivaux
Editeur : J'ai lu - Flammarion
Date d'impression : 10 février 1986
ISBN : 2-277-21955-X
Prix d'achat : 0,50€

Quatrième de couverture : 

Un air d'Offenbach parvenait à ses oreilles, la nuit scintillait d'étoiles argentées et la jolie Odetta rêvait : si seulement, elle, simple femme de chambre, pouvait d'un coup de baguette magique devenir la princesse de ses rêves... Elle ferait son entrée au bal costumée que donne le comte de Houghton dans les jardins voisins, parée d'une de ces robes somptueuses dont le célèbre couturier Worth a le secret...


Et pourquoi pas après tout? C'est très simple de jouer les Cendrillon : surprise de sa propre audace, Odetta enfile une ravissante robe de bal, se dissimule derrière un loup noir et se glisse jusqu'à la porte qui donne sur les jardins du comte.

Et son cœur bat la chamade quand s'approche d'elle un seigneur de l'ombre sorti tout droit de ses rêves... A-t-elle eu tort de croire à la réalité des contes de fées?

Critique :  

L'histoire qui est contée est très rapide. Il y a peu de pages, ce qui donne un ouvrage très fin. Odetta va aller à Paris avec une amie à elle, en qualité de femme de chambre. Elle va faire tout son possible pour que sa riche amie épouse l'homme qu'elle aime. Tout d'un coup son aimé obtient des terres, ils s'enfuient et vivent heureux comme dans un conte de fée. C'est ce qu'on peut reprocher à ce roman, tout est comme dans une histoire pour enfants. C'est mignon, mais extrêmement prévisible. Bien entendu tout doit bien finir. Odetta comme par magie se retrouve face à l'homme qu'elle fuit et aime plus que tout. Le lecteur est déçu assez rapidement, car la majorité du livre est consacré à l'histoire de Simon et Pénélope, même si il y a des allusions à ce que vie Odetta. Cela donne l'impression que la romance de la jeune femme a été bâclée, surtout quand on lit la fin du roman.

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